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Service extérieur
Directeurs
– André DEWAVRIN (dit Colonel Passy), Souvenirs, tome 1 : 2e bureau, Londres (19401941), Paris, Raoul Solar, 1947.
– André DEWAVRIN (dit Colonel Passy), Souvenirs, tome 2 : 10, Duke Street, Londres (le
B.C.R.A), Paris, Raoul Solar, 1951.
– André DEWAVRIN (dit Colonel Passy), Souvenirs, tome 3 : Missions secrètes en France
(novembre 1942-juin 1943), Paris, Plon, 1951.
– Alexandre de MARENCHES et Christine OCKRENT, Dans le secret des princes, Paris,
Stock, 1986, 415 p.
– Pierre MARION, La mission impossible : à la tête des services secrets, Paris, CalmannLévy, 1991, 260 p.
– Claude SILBERZAHN et Jean GUISNEL, Au Cœur du secret. 1500 jours aux commandes
de la DGSE (1989-1993), Paris, Fayard, 1995, 332 p.
– Pierre LACOSTE et Alain-Gilles MINELLA, Un amiral au secret, Paris, Flammarion,
1997, 221 p.
– Pierre MARION, Mémoires de l’ombre : un homme dans les secrets de l’État, Paris,
Flammarion, 1999, 300 p.
Agents
– Dominique PRIEUR et Jean-Marie PONTAUT, Agent secrète, Paris, Fayard, 1995, 264 p.
– Alain MAFART et Jean GUISNEL, Carnets secrets d’un nageur de combat : du
« Rainbow Warrior » aux glaces de l’Arctique, Paris, Albin Michel, 1999, 254 p.
– Dominique FONVIELLE et Jérôme MARCHAND, Mémoires d’un agent secret, Paris,
Flammarion, 2002, 405 p.
– Pierre MARTINET et Philippe LOBJOIS, Un agent sort de l’ombre : DGSE, Service
action, Paris, éd. Privé, 2005, 385 p.
– Pierre MARTINET, De l’ombre à la lumière, Paris, Privé, 2006, 163 p.
– Pierre SIRAMY et Laurent LÉGER, 25 ans dans les services secrets, Paris, Flammarion,
2010, 342 p.
– Thierry JOUAN, Une vie dans l’ombre, Monaco, éd. du Rocher, 2013, 317 p.
– Patrick DENAUD, Le silence vous gardera, Paris, Les Arènes, 2013, 261 p.
Tous services confondus
– Sébastien LAURENT (dir.), Les espions français parlent : archives et témoignages inédits
des services secrets français, Paris, Nouveau Monde, 2011, 623 p.

Enfin, il faut également de souligner que la révélation de l’identité d’un
agent par les médias s’accompagne souvent de la publication d’informations
déclassifiées en violation du secret de l’instruction. Cette publication survient
parfois quelques jours seulement après la transmission au magistrat des
informations déclassifiées, intégrées au dossier et donc consultables par les
parties. Se trouvent ainsi révélées tant l’identité des agents que le service auquel
ils appartiennent et leurs modes opératoires, autant de données susceptibles de les
mettre en danger, ainsi que leurs familles. Si les sanctions pénales relatives au
secret de la défense nationale ne peuvent alors s’appliquer, puisque les documents
ont fait l’objet d’une déclassification, celles relatives à la violation du secret de
l’instruction – pour les personnes qui concourent à la procédure judiciaire –, au
recel du secret de l’instruction – pour les journalistes –, et à la violation du secret

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