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4. L’enjeu du passage à la « 5G » : des besoins d’ajustement encore difficiles à
appréhender ....................................................................................................................87
5. L’accès aux données de connexion : des techniques qui pourraient être fragilisées
par la jurisprudence européenne ...................................................................................88
6. L’encadrement des échanges de renseignement avec des États étrangers : une
réflexion à engager .........................................................................................................91
a) Une absence d’encadrement des échanges de renseignement étranger qui interroge et
pourrait constituer une source de fragilité juridique .................................................... 91
b) Un engagement du Gouvernement à mieux formaliser les protocoles d’échanges qui va
dans le bon sens ........................................................................................................... 92
c) Un débat légitime sur le statut des renseignements techniques collectés ou exploités
grâce à l’assistance d’un service étranger ..................................................................... 93
III. UN CONTRÔLE SUR L’ACTIVITÉ DES SERVICES FORTEMENT RENFORCÉ,
AU BÉNÉFICE DE LA PROTECTION DES DROITS DES CITOYENS .................... 94
A. LA CNCTR A SU MONTER EN PUISSANCE POUR ASSUMER PLEINEMENT SA
FONCTION DE CONTRÔLE, QUI DEMEURE TOUTEFOIS IMPARFAITE ..............94
1. La mise en place de la CNCTR : une montée en charge progressive ...........................94
2. Un contrôle a priori fonctionnel ...................................................................................95
a) Le contrôle a priori, un contrôle de légalité des techniques de renseignement sollicitées 95
b) Une action de contrôle pleinement respectée, qui se nourrit des échanges avec les
services ....................................................................................................................... 96
3. Un contrôle a posteriori en cours de consolidation ....................................................97
a) Une mission à inventer, qui, au regard des investissements nécessaires, a connu une
montée en charge progressive ....................................................................................... 97
b) Des irrégularités très rarement constatées, qui n’ont donné lieu qu’à des
recommandations peu nombreuses ............................................................................... 99
c) Un contrôle par nature limité ..................................................................................... 100
B. LE DROIT AU RECOURS, ESSENTIEL À LA PROTECTION DES DROITS DES
CITOYENS, DEMEURE PEU MIS EN ŒUVRE À CE JOUR........................................ 101
1. L’ouverture d’un droit au recours spécifique : une innovation de la loi de 2015 ..... 101
a) Les conditions d’exercice du droit au recours .............................................................. 101
b) La question de l’extension du recours aux techniques de surveillance internationale.... 102
2. Un contentieux qui demeure faible au regard du nombre de technique .................... 103
a) Un droit au recours peu exercé à ce jour ..................................................................... 103
b) Des suites judiciaires qui n’ont révélé aucune irrégularité majeure ............................. 104
3. Un contentieux spécifique, dont l’effectivité pourrait être renforcée ....................... 104
a) Un contentieux asymétrique ....................................................................................... 104
b) Une expertise technique limitée .................................................................................. 106
c) Une absence de procédure pour assurer l’effectivité des décisions à combler ................. 107
CHAPITRE II : LE RENSEIGNEMENT PÉNITENTIAIRE, L’AFFIRMATION D’UN
SERVICE EN PREMIÈRE LIGNE DANS LA LUTTE CONTRE LE TERRORISME .... 111
I. LA MONTEE EN PUISSANCE DU RENSEIGNEMENT PENITENTIAIRE ............. 111
A. D’UN BUREAU CENTRAL À UN SERVICE À COMPÉTENCE NATIONALE .......... 111
1. Le renseignement pénitentiaire : une pratique ancienne ................................................... 112
2. La création du BCRP en 2017… ..................................................................................... 112
3. …et sa transformation en service national du renseignement pénitentiaire en 2019 ......... 113
B. LA SINGULARITÉ DU RENSEIGNEMENT EN MILIEU FERMÉ ................................ 114
1. La primauté du renseignement d’origine humaine ........................................................... 115

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