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De multiples cellules ou enceintes de coopération existent en fonction des
finalités poursuivies telles que :
– L’indépendance nationale et l’intégrité du territoire et la défense nationale
(4 cellules ou structures de coopération).
– La cyberdéfense (4 cellules ou structures de coopération).
– Les intérêts majeurs de la politique étrangère et l’exécution des
engagements européens (7 cellules de coopération).
– La prévention de toute forme d’ingérence étrangère (5 cellules ou
structures de coopération).
– La défense et la promotion des intérêts économiques, industriels et
scientifiques majeurs de la France (22 cellules ou structures de
coopération).
– La prévention du terrorisme (19 cellules ou structures de coopération).
– La prévention de la criminalité ou de la délinquance organisée (9 cellules
ou structures de coopération).
– La prévention de la prolifération des armes de destruction massive
(17 cellules ou structures de coopération).
2. Les coopérations techniques
Depuis 2017, les coopérations techniques s’organisent autour de trois
structures :
– Le comité de pilotage stratégique (CPS), présidé par le CNRLT et dont
le secrétariat est assuré par le SGDSN, est l’instance supérieure de
gouvernance des capacités techniques mutualisées.
– Des comités d’orientation et de pilotage qui réunissent un directeur
technique et l’ensemble des services de renseignement qui ont pour objet
le pilotage des développements techniques.
– Des comités internes aux programmes (comités utilisateurs).
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