2.1.1. Mobiliser tous les canaux numériques pour enrichir l’offre
des moyens de contact . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213
2.1.2.Développer l’interactivité numérique dans la communication
à des fins de prévention, d’information ou d’action
opérationnelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 219
2.1.3.Le perfectionnement de l’alerte et de l’information
aux populations par les canaux numériques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222
22. Mettre à l’état de l’art technologique le poste
de travail de l’agent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 224
2.2.1.Adopter la mobilité applicative pour simplifier l’accès
à l’information professionnelle de manière sécurisée . . . . . . . . . . . 224
2.2.2. Développer plus rapidement la dimension spatiale . . . . . . . . . . . 228
2.2.3. Moderniser la gestion de crise et l’activité opérationnelle
par un accès plus direct et plus partagé à la donnée utile . . . . . . . 232
3. Mettre à l’état de l’art de manière synchronisée les grandes
infrastructures technologiques de la sécurité intérieure . . . . . . . . . . 235
3.1. Accélérer la transformation numérique du ministère
de l’Intérieur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236
3.1.1. Vers un modèle de développement numérique à l’état de l’art . . 236
3.1.2. Moderniser les réseaux fixes et mobiles à l’ère de la 4G
et de la 5G . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 238
3.1.3. Développer les centres d’hébergement des données,
l’informatique en nuage et les systèmes distribués . . . . . . . . . . . . . . 240
3.2. Construire une politique des données et mobiliser
les technologies d’intelligence artificielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243
3.2.1. Mieux gérer le capital de données dans le respect
de la vie privée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244
3.2.2. Apprendre à produire davantage de connaissance
et à éclairer davantage l’action par la réutilisation
des données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 246
3.2.3. Adopter des interfaces hommes machines plus adaptées
pour les métiers en projection . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 250
4. Mobiliser les technologies biométriques dans le respect
des valeurs et des normes de l’État de droit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 252
4.1. Bien définir les biométries pour nourrir un débat public
de qualité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 252
4.2. Adopter une approche criminalistique multi-biométrique . . . . . . 254
4.3. Moderniser l’usage des biométries « historiques » . . . . . . . . . . . . . . 256
4.4. Consolider l’usage criminalistique de la reconnaissance
du visage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 258
4.5. Construire les fondations d’un usage opérationnel
de la biométrie vocale en criminalistique et en surveillance . . . . . 260
4.6. Améliorer le traitement d’une biométrie complémentaire :
l’odorologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 261
4.7. Expérimenter la reconnaissance du visage dans l’espace public . . 263
4.8. Le volet éthique de la recherche et du développement
de l’usage opérationnel des biométries . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 265
18
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